C'est pas sorcier : pesticides - bio et compagnie, vers une autre agriculture - la pêche - la pisciculture

Synopsis

Pesticides : attention danger

Après la seconde guerre mondiale pour produire plus, les pesticides ont été introduits massivement dans l’agriculture.
L’agriculture française est l’une des plus grosses consommatrices de produits phyto-sanitaires (pesticides, fongicides, insecticides…). Un champ de blé est traité 7 fois en moyenne dans l’année, un verger de pommes près d’une trentaine de fois…
Malgré leur utilisation très réglementée, on retrouve des résidus un peu partout dans la nature qui ont des impacts sur l’environnement (faune et flore) et sur notre santé.

Bio et compagnie, vers une autre agriculture

Dans le monde, plus d’un tiers du poisson consommé provient de la pisciculture. Source de protéines importante, l'être humain consomme en moyenne 16 kilos de poissons par an. Avec l'allongement de l'espérance de vie et le nombre d'individus sur la planète toujours croissant, la consommation de poissons sera toujours plus importante. C'est pourquoi nous avons recours de plus en plus à la pisciculture.
Fred et Jamy nous emmènent tout d'abord sur l'Ile de Noirmoutier, découvrir le fonctionnement du plus ancien bassin de turbots d'élevage, et font également escale sur l'Ile de Ré, pour nous faire visiter l'un des plus gros élevages de bars de France.

En France, seulement 2% des surfaces cultivées sont bio. On n'y utilise aucun engrais ni pesticides chimiques mais on a recours à des techniques de production qui respectent le cycle de la nature : rotation des cultures, préservation de la fertilité des sols, recyclage des matières organiques, lutte biologique contre les insectes ravageurs, respect des écosystèmes naturels…
Depuis plusieurs années, de nombreux consommateurs se tournent vers une alimentation bio pour préserver leur santé et respecter l’environnement.
Fred et Sabine nous emmènent aux quatre coins de la France pour nous faire découvrir les exploitations bio, comprendre leurs méthodes de production et de lutte biologique.

La pêche : les poissons ont le mal de mer

En une cinquantaine d'années, nous sommes passés de 15 millions de tonnes de poissons pêchés chaque année, à 90 millions... Victimes de cette surexploitation, les poissons du littoral se font de plus en plus rares. 10% des stocks mondiaux seraient épuisés. 18% surexploités. Les scientifiques estiment qu'il faudrait quatre ans d'un arrêt total de la pêche en mer pour que les poissons qui vivent au large des côtes européennes se régénèrent. Victimes à leur tour de cette baisse de rendements - et des quotas de pêche qui leurs sont désormais imposés - les pêcheurs français ont du mal à survivre. C'est pas sorcier a suivi pour nous une pêche artisanale au large des côtes bretonnes. Fred et Jamy nous expliquent comment on tente aujourd'hui d'équilibrer les activités de pêche et le renouvellement des populations de poissons.

La pisciculture : des poissons bien élevés

Dans le monde, plus d’un tiers du poisson consommé provient de la pisciculture. Source de protéines importante, l'être humain consomme en moyenne 16 kilos de poissons par an. Avec l'allongement de l'espérance de vie et le nombre d'individus sur la planète toujours croissant, la consommation de poissons sera toujours plus importante. C'est pourquoi nous avons recours de plus en plus à la pisciculture.
Fred et Jamy nous emmènent tout d'abord sur l'Ile de Noirmoutier, découvrir le fonctionnement du plus ancien bassin de turbots d'élevage, et font également escale sur l'Ile de Ré, pour nous faire visiter l'un des plus gros élevages de bars de France.